vendredi 27 septembre 2013

jeudi 26 septembre 2013

Nouveauté: Mazzy Star - Lay Myself Down


Le groupe néo-folk psyché de Dave Roback et Hope Sandoval est de retour, 17 ans après leur dernier album. Et ils reprennent les affaires là où ils les avaient laissées: ballade country-folk crépusculaire, voix spectrale et guitare slide cotonneuse...

Pépite: Canned Heat - Time Was



L'un des groupe symboles de Woodstock, auteur d'un paquet de tubes Blues-Rock à la fin des années 60 (Let's Work Together, On The Road Again, Going Up The Country) avant de sombrer dans la drogue (de l'époque dorée, seuls le batteur et le bassiste sont encore en vie et tiennent le groupe aujourd'hui).

L'alchimie paradoxale pour le partage du chant entre la voix virile et bourrue de Bob Hite (surnommé l'Ours à cause de sa stature façon Michael Moore) et surtout celle de fausset d'Alan Wilson (surnommé la chouette), enfantine et vacillante, unique à l'époque pour ce genre de musique, qui traduisait son esprit torturé et asocial (à la limite de l'autisme selon son médecin, Alan Wilson sera d'ailleurs retrouvé mort en forêt en 1970).

C'est cette voix qu'on retrouve sur ce titre, un des morceaux préférés des fans qui, par ailleurs, contient l'un des meilleurs solos du guitariste du groupe, Henry Vestine.

dimanche 22 septembre 2013

Compte-rendu de concert - Roger Waters (ex-Pink Floyd) et son "Wall" au Stade de France, 21 septembre 2013





C'était hier soir au Stade de France à Paris que Roger Waters, ex-bassiste, co-chanteur et compositeur principal de Pink Floyd, a mis fin à une tournée entamée voici 2 ans dans laquelle il joue en intégralité (27 morceaux) l'album-concept The Wall sorti en 1979, double album le plus vendu au monde.

Profitant des avancées technologiques, Roger Waters a voulu en mettre plein les yeux une dernière fois avant de raccrocher dans la catégorie "grands shows épiques".

Alors que donne le show The Wall 34 ans après sa sortie ?

Sur la forme, c'est un mètre-étalon de ce que doit être un show de stade. Au niveau du visuel et du son, on peut carrément dire sans grosses contestations qu'il s'agit du concert de stade le plus impressionnant qui ait jamais existé jusqu'à présent.

On a tout eu hier soir: un mur gigantesque en largeur et en hauteur (solo de Comfortably Numb en haut du mur !), un avion traversant le stade (!), des explosions à gogo, un sanglier volant géant qui a fini par atterrir au milieu du public, des personnages-automates géants, des costumes et mises en scène grandioses de dictateurs dignes des grands rassemblements du 3ème Reich, une chorale d'une vingtaine d'enfant (juste pour Another Brick In the Wall !), etc.

Le mur, d'abord ouvert au centre (comme cassé par une voiture-bélier en gros) et laissant apparaitre le groupe, était refermé au fur et mesure du show, quelques briques (en carton bien-sûr) en plus à chaque chanson, pour terminer par un mur complet après Goodbye Cruel World, dernier morceau du CD1 dans la chronologie de l'album.

Après un entracte de 15-20 minutes (seule ombre au tableau, faisant un peu retomber l'intensité), le groupe, caché par le mur, fit résonner les 1ers arpèges de Hey You, sublime 1er morceau du CD2.

Le son était d'une perfection inouïe pour ce type de lieu, avec, comme au cinéma, les sons des différents instruments et des effets sonores sortant des 4 coins du stade: un vrai son quadriphonique ! Cernés par un bruit d'hélicoptère au nord, des cris glaçants au sud, on ne savait plus où donner de la tête ! Totalement immersif.


Roger Waters (70 ans !) était en grande forme vocale et physique pour cette dernière, visiblement très ému.
Le chanteur remplaçant David Gilmour pour les morceaux qu'il chantait sur l'album a parfaitement rempli son rôle. Tous les extraordinaires musiciens (une dizaine) aussi, impossible d'en ressortir l'un plus que l'autre tellement ils ont su créer une vraie osmose pour une musique sublime, nous emportant au-delà de l'espace.



Sur le fond, Roger Waters a actualisé l'histoire pour délivrer un message universel anti-guerre, anti-terrorisme, anti-préjugés (avec un hommage à Jean-Charles de Menezes, citoyen brésilien tué par la police en 2005 dans le métro londonien dans le climat de paranoïa post-attentats de Londres par Al-Quaida), anti-société de consommation du superflu, de l'image et des postures superficielles, qui fait perdre de vue l'essentiel, l'humain et les gens isolés qui souffrent à quelques mètres de lui et qu'ils ne voie plus à cause des technologies aussi croissantes que l'individualisme et l’égoïsme.

Toujours des références à la guerre 39-45 et au père de Waters, qu'il n'a jamais connu puisqu'il fut tué lors de celle-ci. C'est d'ailleurs l'une des principales raisons qui l'a fait écrire cet album, pour extérioriser sa douleur et sa colère.

Voilà en gros ce qu'était The Wall au Stade de France et, dernier concert oblige, quelques morceaux du mur devenu désormais techniquement inutile ont pu être récupérés par les fans les plus proches de la scène, qui les conserveront nul doute comme un vestige aussi précieux qu'une brique du mur de Berlin ou du World Trade Center, souvenir d'un spectacle que nous ne verrons plus joué par son auteur...


PS: Pour cette dernière, Nick Mason, batteur de Pink Floyd, était venu spécialement de Londres pour assister au concert. Quel dommage qu'il ne soit pas monté sur scène !

Et comme les images parlent mieux que les mots, quelques vidéos:

L'intro du concert, In The Flesh:



Another Brick in The Wall (part 1) - Happiest Days Of Our Lives  - Another Brick in The Wall (part 2):



Comfortably Numb:







vendredi 20 septembre 2013

La jeunesse retrouvée

Superpoze - The Iceland Sound (EP)




Vous n'avez pas réussi à avoir de place pour le Grand Roger Waters au stade de France ce samedi 21 septembre 2013? Pas d'affolements, il est encore temps de vous replier sur la jeunesse prometteuse de Kitsuné au Grand Palais.

...détente avec Eric Clapton - Son & Sylvia


Son & Sylvia, issu de l'album Reptile (2001).

Pour de la cocaine after midnight


La carrière de JJ Cale, né en 1938 à Oklahoma City et décédé très récemment le 26 juillet 2013 en Californie, fut discrète mais riche de 16 albums studios ornés de pépites que s'approprieront les meilleurs. On évoquait il y a peu Tony Joe White, et bien voilà son maître, le roi du laid-back, de la détente jazzy, du folky-blues décontracté.   


JJ Cale - Call the doctor (Album Naturally-1972)




En fait, son truc a toujours plutôt été d'écrire des chansons, pour des artistes "plus doués en interprétation", des entertainers résumait-il. Des reprises de ce monument de la musique il y a eu beaucoup, des bonnes et des ratées. Aujourd'hui, on ne va pas trop prendre de risque : Cocaine est une des plus célèbres puisque reprise par le "God" qui est ici accompagné par de la crème fleurette (Mark knopfler, Alan Clark et Elton John).


Eric Clapton - Cocaine (live from Tokyo 1988)




En résumé, JJ s'écoute à donf, dans son alfa spider, dans son arrière cuisine, ou dans son slip en wayfarer.  Certains de ses solos de grat ravageurs donneraient presque envie de se faire sauter le caisson, d'autres plus sobres, tout simplement de crier son amour au dieu soleil. 


JJ Cale - Call me the breeze (Album Naturally-1972)







Pour aller plus loin : Album Naturally, son 1er, en 1972

  1. Call Me the Breeze – 2:35
  2. Call the Doctor – 2:26
  3. Don't Go to Strangers – 2:22
  4. Woman I Love – 2:36
  5. Magnolia – 3:23
  6. Clyde – 2:29
  7. Crazy Mama – 2:22
  8. Nowhere to Run – 2:26
  9. After Midnight – 2:23
  10. River Runs Deep – 2:42
  11. Bringing It Back – 2:44
  12. Crying Eyes – 3:13

mercredi 18 septembre 2013

Pépite: Queen - Cool Cat



Le genre de morceau idéal pour un blind-test entre amis. Avec sa rythmique reggae, sa guitare funky et la voix atteignant des sommets d'aigus façon Curtis Mayfield, à moins de connaître la chanson vous risquez d'entendre des réponses assez éloignées de la vérité !

Avec le recul, on peut se dire "je ne m'attendais pas à ce que ça soit eux, mais c'était très probable qu'il soit capable d'enregistrer un morceau pareil".

Cool Cat est un morceau co-écrit par le chanteur Freddie Mercury et le bassiste John Deacon et issu de l'album controversé Hot Space sorti en 1982. Controversé car étant l'album le moins rock de Queen, c'est le seul à avoir divisé lourdement les fans à sa sortie, leur reprochant de s'éloigner des guitares rock au profit d'expérimentations Disco/Funk (un quart de l'album reste pourtant du Queen reconnaissable).

Renforcé dans leurs convictions par le carton (n°1 des deux côtés de l'Atlantique !) du dernier single issu de l'album précédent, le morceau Disco/Funk Another One Bites The Dust, Queen (enfin surtout Mercury et Deacon, au grand dam des deux autres) avaient en effet décidés de poursuivre dans cette direction.

30 ans après, l'album a très bien vieilli et a été réhabilité par le public. Les quelques morceaux joués en live à l'époque avec une énergie résolument rock et le temps écoulé depuis ont fait revoir leur position aux fans les plus puristes, surpris à l'époque et qui acceptent la qualité de l'album aujourd'hui (pour un novice de Queen, plusieurs écoutes devraient être nécessaires).

Hot Space est donc l'album le plus expérimental du groupe, peut-être l'un des plus courageux.

Michael Jackson (très souvent de sortie avec Queen à l'époque, il les a vu 15 fois en concert lors de la tournée américaine de l'album !) a souvent cité Hot Space comme l'une de ses principales influences pour son album Thriller sorti quelques mois plus tard.


PS: la vidéo postée ici n'est pas le clip officiel vu qu'il n'y en a pas mais une vidéo (très réussie) faite par un fan.

Dylan ou Rodriguez?

Pour ses ressemblances avec Geronimo et aussi parce qu'il aurait pu devenir selon certains peut-être un peu ambitieux l'égal de Dylan, je vous conseille l'histoire néanmoins passionnante de ce musicien folk américain aux allures de vieux sage. 




Sixto Rodriguez - Crucify Your Mind 






Voici également son premier album Cold Fact, sorti en 1970, une pépite. 







Pour aller plus loin, il y a ce documentaire exceptionnel qui a remporté un succès planétaire, "Searching for Sugar Man" de Malik Bendjelloul. Vous aurez l'histoire détaillée de cet oublié des seventies.

mardi 17 septembre 2013

Pépites (X 2) : Tony Joe White et les bayous de la Louisiane...

Tony Joe White, c'est l'un des musiciens-symboles de la Louisiane.

En voici la preuve avec deux morceaux toute en tension contenue, poisseux comme les bayous louisianais, avec une voix et une guitare en mode laid-back. A se passer tranquille en début de soirée, les pieds sur la table basse, un verre de ce que vous voulez à la main...

Son morceau le plus connu (repris par Elvis), Polk Salad Annie:

  


Et une vraie pépite méconnue, Roosevelt and Ira Lee (Night of the Mossacin):







A notre bon Michael !

Michael McDonald - I keep forgettin' 






Vous connaissez probablement Michael via ses collaborations explosives avec les frères pétards (The Doobie Brothers si vous préférez).


Et bien je vous partage aujourd'hui une pépite indémodable datant de 1982, samplée en 94 par le west coast rapper Warren G. Et si vous voulez la version modernisée, penchez-vous sur beyond des dafts punk.

Enjoy les ptits gars!

MIXTAPE Sun





Artist : Hauke Freer (Session Victim, Berlin, Germany)


Name : Sleazy Beats Guestmix




Pour les amateurs d'une house qui fait bouger le bassin et frissonner l'ensemble je vous conseille, si ce n'est pas encore déjà fait,  de vous pencher sur ce duo allemand. Ceci n'est pas pour les hystéros, juste pour les détendus du slip qui désirent groover tranquillement avec maman. Commencez par ce ptit set histoire de lui montrer que même à l'extérieur, vous jouez à domicile. Si ça lui plait, penchez vous sur leur premier album, Delusion of Grandeur et ses balades disco aux accents funky. Simple et efficace.







Une sensation de déjà ouï


Art Institute - Metal film resistor








lundi 16 septembre 2013

Nouvel album d'Elton John - The Diving Board

Le nouvel album d'Elton John (son 1er depuis 7 ans) est sorti aujourd'hui.

Je l'ai écouté et c'est une sacrée bonne surprise ! 

The Diving Board est un album aux arrangements sobres, assez dépouillés (un peu comme les albums solos de Mark Knopfler sauf qu'ici le piano remplace la guitare). Les morceaux font la part belle au piano d'Elton John et à sa voix, devenue un tout petit peu plus grave avec l'âge (66 ans tout de même !) mais avec un grain plus épais et légèrement éraillé, qui va merveilleusement bien avec les superbes mélodies présentées ici.

L'album alterne donc ballades, qu'elles soient lyriques (Oceans Away), pop (Oscar Wilde Gets Out; The Ballad Of Blind Tom) ou jazzy (ah, le pont instrumental de My Quicksand !), et...boogie-blues de piano-bar pour les morceaux les plus enlevés comme en atteste la chanson suivante, Mexican Vacation (Kids in the Candlelight), en version live aux Studios Capitol.

A noter la présence de Raphael Saadiq à la basse. Et énorme finish au piano !

 
 

PS: Petite curiosité pour ceux qui écouteront l'album, sur les 6 premières secondes du morceau The Diving Board, Elton a la même voix que le Bob Dylan des années 2000 !



Attention pépite: Atlanta Rhythm Section - So Into You (Live 1979)


Il y a quelques mois, je flânais dans les rayons d'un Virgin Megastore (avant que tout ferme...) et pour la 1ère fois depuis pas mal de temps, je suis resté scotché par la musique qui passait:

J'ai vraiment cru pendant plusieurs minutes à un morceau Soul/Blues de George Michael (la même voix sur les 1ers couplets !) avec les musiciens de Supertramp pour le son pop des instruments. Puis quand le solo de guitare a commencé, il fallait absolument que je sache qui était responsable de cet ovni groovy à mort !

La réponse tient en 3 mots: Atlanta Rhythm Section.

Le vendeur du rayon avait mis du temps à me répondre...il était à fond sur le solo et faisait du air guitar les yeux fermés.

samedi 14 septembre 2013

Ivan - Fotonovela


Encore de l'Europop des années 80, venue cette fois d'Espagne. Ivan et son nostalgique Fotonovela, dernier N°1 espagnol en Europe jusqu'à...Las Ketchup et leur Aserejé en 2002.

Morceau sublime, ou comment créer la nostalgie du temps passé avec des synthés ultra-pop.
Le clip est pas mal non plus pour l'époque, avec une mise en scène plutôt intéressante qui sert bien l'ambiance de la chanson.

Fox The Fox - Precious Little Diamonds


En ce début de week-end, back to the '80s avec les hollandais de Fox The Fox et leur Precious Little Diamonds, tube Eurodisco mâtiné de guitare et basse funky.

A écouter à fond !

vendredi 13 septembre 2013

Ian Hunter - When I'm president


L'an dernier, c'était le retour de Ian Hunter, ex-chanteur du groupe de glam-rock anglais des '70s Mott The Hopple.

Retour par la grande porte avec cet excellent morceau de cool-rock américain, très radio-friendly (dans un monde normal, ce morceau serait un tube et Justin Bieber serait laveur de carreau), où Ian Hunter nous expose son programme "quand il sera président" à l'heure où les chefs d'état cherchent leur degré d'influence dans le monde.

Oh, au fait, petite leçon aux apprentis rockers...ce bon vieux Ian Hunter est un fringuant jeune homme de 73 ans !

Memory Divine, mélodie crépusculaire...



Un morceau en anglais de Françoise Hardy sorti en 2010 et écrit par Jean-Louis Murat (si, si, souvenez-vous du duo "Regrets" avec Mylène Farmer).

Sur ce titre qui convoque l'étrange et le mystère, l'épouse de Jacques Dutronc sonne comme une Marianne Faithfull tardive ou une Patti Smith assagie...

Paul McCartney, nouvel album..."New" !

Sir Paul McCartney sortira le 14 octobre prochain un nouvel album sobrement intitulé "New".

Il s'agit de son 1er album de morceaux originaux depuis 2008 (il avait sorti l'an dernier un album de reprises de jazz des années 30 et 40, Kisses On The Bottom).

Voici le 1er single de l'album, également appelé New:

Tracklist de l'album:

1. Save Us
2. Alligator
3. On My Way to Work
4. Queenie Eye
5. Early Days
6. New
7. Appreciate
8. Everybody Out There
9. Hosanna
10. I Can Bet
11. Looking At Her
12. Road

jeudi 12 septembre 2013

Funk story: Comment Chic mit sur orbite les Sister Sledge...


Après deux premiers albums sortis dans une certaine indifférence au mitan des années 70, les Sister Sledge (4 soeurs de Philadelphie) ont finalement touché le graal en 1979 avec l'album We Are Family, entièrement produit, composé et joué par les deux leaders de Chic, le duo de choc Nile Rodgers (guitare) et Bernie Edwards (basse), deux immenses faiseurs de tubes funk et pop.

A leur tableau de chasse, outre les classiques de leur groupe Chic (Le Freak, Good Times, Everybody Dance, Chic Cheer, etc), on leur doit à la même époque Upside Down de Diana Ross et Spacer de Sheila & B Devotion. Un peu plus tard, Nile Rodgers produiera, excusez du peu, le Let's Dance de David Bowie, Like A Virgin de Madonna, Notorious de Duran Duran, Love Shack des B-52's...jusqu'au dernier tube co-écrit par Nile Rodgers et Daft Punk que vous avez sûrement entendu un peu partout cet été, Get Lucky (dont la rythmique de guitare de Rodgers se rapproche de celle de We Are Family).

Mais revenons aux Sister Sledge: l'album We Are Family produira trois pures hits de Disco-Funk: la chanson-titre We Are Family, He's The Greatest Dancer (dont la rythmique de guitare sera samplée par Will Smith pour son Gettin' Jiggy With It de 1998) et Lost In Music.

L'album sera le plus gros succès de la carrière des Sister Sledge.

Nous vous proposons de découvrir ici la version de Lost In Music remixée par Nile Rodgers et Bernie Edwards en 1984, 5 ans après la 1ère version.

...and play it loud !
Notre ambition est de vous faire partager nouveautés et oldies, classiques intemporels ou pépites définitives à découvrir. Parfois nous développerons des thématiques particulières.

Nous espérons servir avant tout de passeurs vers les musiques qu'on aime et qui nous marquent.

Enjoy !!

Alerte concert !

Fleetwood Mac passera par la France et Paris-Bercy le 11 octobre prochain.

mercredi 11 septembre 2013

Un festival mythique mis en musique

Pour un flirt avec toi, Michel, on est prêt à revisiter Dylan, Donovan et le festival de l'Ile de Wight (le mythique, pas celui d'aujourd'hui).

Back to 1970.

De l'électro en 2013 par les Pet Shop Boys



Pet Shop Boys - Vocal (extrait de l'album Electric, paru le 12 juillet 2013)

Actifs depuis 1985 et l'un des hits les plus emblématiques de la ville de Londres (West End Girls), les Pet Shop Boys définissent une esthétique electro-pop intemporelle. On en veut pour preuve cet extrait de leur dernier album (paru seulement 10 mois après le précédent !), le bien nommé (et fabuleux) Electric, où l'on se croirait à la fois en 1986, 1993, et 2050.

Les paroles et le clip illustrent le temps insouciant des 1ères rave-parties de la Génération X au début des années 90 (les images du clip sont tirées de VHS amateurs de l'époque), où l'électro et la techno étaient encore synonymes de liberté plutôt qu'une certaine récupération bling-bling qu'on peut voir actuellement (David G., si tu nous lis...).
11 septembre 2013,

"Music was my first love
And it will be my last,
Music of the future
And music of the past."

John Miles.